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Quatrième du Pro Sailing Tour avant la saison en SOLO !

juillet, 13Solidaires En Peloton...
BRITTANY, FRANCE – JULY 03: Ocean Fifty Solidaires En Peloton-ARSEP trimaran, led by Thibaut Vauchel-Camus of France, competes offshore during Episode 3 of the Pro Sailing Tour in Saint-Quay-Portrieux on July 3, 2022 in Saint-Brieuc, Brittany, France. (Photo by Lloyd Images/Pro Sailing Tour)

L’équipage de l’Ocean Fifty Solidaires En Peloton – ARSEP, mené par Thibaut Vauchel-Camus, s’octroie la quatrième place du Pro Sailing Tour 2022 à l’issue de quatre belles étapes à Bonifacio (6ème), Brest (4ème), Saint-Brieuc (5ème) et entre Cowes et Roscoff (4ème). Vincent Riou, Hugo Dhallenne, Aloïs Kerduel, Antoine Joubert, Luke Berry, Julien Pulvé et Thibaut Vauchel-Camus n’auront pas démérité tout au long des épisodes du Pro sailing Tour et se retrouvent au pied du podium derrière Arkema (vainqueur), Leyton et Koesio. L’équipe a progressé au fil des navigations et Thibaut Vauchel-Camus va désormais se présenter sur la DRHeam Cup et la Route du Rhum – Destination Guadeloupe dans les meilleures dispositions pour performer en solitaire, configuration qu’il affectionne.

Thibaut Vauchel-Camus : « Le Final Rush entre Cowes et Roscoff a été passionnant. Nous aurions préféré faire un départ plus “canon” au coup de canon donné par le Royal Yacht Squadron à Cowes, mais nous sommes bien remontés dans le paquet ensuite et nous étions à vue des premiers aux Scilly. Au niveau du Fastnet et des îles Skellig, en Irlande, nous ne sommes pas parvenus à accrocher le bon wagon et le vent qui allait avec… Au fur et à mesure de la descente, l’élastique s’est tendu, tendu avec les trois premiers. Nous avons réduit un peu l’hémorragie lors de la remontée bretonne. On a fait un bord extraordinaire, avec de la mer plate à des vitesses de plus de 30 nœuds. Les Ocean Fifty sont géniaux et nous avons pris beaucoup de plaisir. Le match a été de très haut niveau sur les 4 épisodes du Pro Sailing Tour à l’instar de ce Final Rush.  Le format de parcours côtiers, construits et au large est vraiment top. Nous avons beaucoup appris au fur et à mesure des étapes… Les nouveaux Ocean Fifty sont bien nés… Nous avons du boulot de notre côté pour se mettre à leur niveau. Grâce à Vincent Riou et à tous mes équipiers, j’ai tiré de nombreux enseignements pour la suite de l’année qui va se dérouler en solo. Je suis très content de me présenter sur la DRHeam Cup et de défendre mon titre en solitaire. Elle sera une formidable préparation pour la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, l’objectif de ma saison. »

Le départ de la DRHeam Cup aura lieu le 17 juillet à Cherbourg. Les premiers voiliers sont attendus à la Trinité-sur-Mer le 20 juillet.

Pause

juillet, 13BLOG...

Après une première partie de l’année très remplie, l’Agence TB Press prend des congés du 22 juillet au 22 août… Vivement déjà l’automne où beaucoup de projets nous attendent dans la continuité d’un début d’année « canon » avec Thomas Ruyant – LinkedOut – Advens, Perrine Laffont, Maxime Sorel – V and B – Monbana – Mayenne, Emilien Jacquelin, la Fondation Belem, le Défi Voile Solidaires En Peloton, le voilier « A l’aveugle » de François Jambou, le fonds de dotation « Des Epaules et des Ailes » – GPMA, Pierre Le Roy, Laurent Bourguès, la Banque Populaire du Nord…

Cap sur la route du Rhum – Destination Guadeloupe, les Coupes du Monde de ski de bosses et de biathlon, la remise des prix Atout Soleil en faveur d’associations qui œuvrent contre les effets des crises sur les jeunes, des projections du film de Molecule et Thomas Ruyant et l’accompagnement des sportifs Olympiques de la Banque Populaire du Nord…

Un sacré programme pour TB Press qui s’active fortement dans le sport mais également de nombreux défis à impact ! A ce sujet, TB Press s’agrandira avant la fin d’année avec une équipe dédiée afin d’accompagner les acteurs de la RSE dans leur développement.

TB Press = stratégie de communication, conseil, relations presse, contenus éditoriaux, influence digitale

La der pour Pierre Le Roy entre les Sables d’Olonne et les Açores !

juillet, 12Pierre Le Roy...

Vainqueur de la Mini en Mai cette année, vainqueur de la dernière Mini Transat dans la catégorie des prototypes l’année dernière, Pierre Le Roy, à bord de TeamWork, prendra le départ de des Sables – Les Açores – Les Sables le 19 juillet, au large des Sables d’Olonne, dans la naturel peau du favori. Le navigateur nordiste participera à sa dernière compétition en solitaire à bord de son magique plan Raison et compte surtout prendre du plaisir pour sa deuxième participation à cette classique du circuit.

« Mon ambition première est de finir ce cycle sur le circuit des Mini 6.50 de la meilleure des manières possibles en naviguant au mieux selon mes routines et en appréciant cette navigation au large. Si ça marche comme ça, je ne serai pas loin d’une belle place au classement général » déclare Pierre. « J’ai à nouveau progressé depuis le début de saison et lors de ma victoire sur la Mini en Mai. Je me sens plus rapide à certaines allures. Le passage à bord du Figaro TeamWork lors de la Sardinha Cup avec Nils Palmieri a été aussi un moyen de découvrir un autre support et de m’enrichir. Cette épreuve n’est pas une mince affaire. Lors de la première étape soit 8 à 10 jours de mer, nous pouvons avoir deux scénarios pour la traversée du golfe de Gascogne : soit une nav de rêve dans un flux anticyclonique soit une nav plus difficile dans une dépression. Le cap Finisterre sera un passage important avec de possibles conditions musclées. Ensuite, cela sera le grand large, des trajectoires ouvertes que j’affectionne. La deuxième étape peut être plus rapide avec du vent d’Ouest puis une dépression ou cela peut aussi être pénible dans la pétole. Je vais avoir de sérieux concurrents qui ont progressé depuis le début d’année et lors de mon absence sur le circuit. Il y aura possiblement une bataille entre plan Raison. »

Les marins sont attendus aux alentours du 27 juillet à Horta. Ils reprendront la mer le 4 août de l’île de Faïal.

3 champions nordistes en piste pour Paris 2024 !

juillet, 11BP Nord...

La Banque Populaire du Nord, comme annoncé il y a quelques jours, poursuit son engagement auprès de sportifs des Hauts-de-France dans le but de les accompagner dans leurs parcours de performance et leur objectif de prendre les départs des courses Olympiques en 2024 à la maison ! Zoom sur la rameuse Erika Sauzeau, sur la kitesurfeuse Anaïs Mai Desjardins et sur le kayakiste Maxime Beaumont, champion de France sur 500 mètres hier à Vichy !

Maxime Beaumont, Champion de France !

Maxime Beaumont a remporté hier à Vichy un nouveau titre de Champion de France sur 500 mètres, la distance retenue pour Paris 2024. Il avait terminé deuxième samedi sur 200 mètres. Le kayakiste, vice-champion Olympique à Rio, 9ème du K1 200 à Tokyo, 40 ans, s’est lancé dans une nouvelle campagne Olympique depuis le début d’année. La star boulonnaise a pour objectif des performances de haut niveau en équipage et ses deux podiums du week-end confirment ses ambitions en vue de Paris. En compagnie de Guillaume Burger, Quilian Koch et Guillaume Le Floch Decorchemont, Maxime avait fini dernièrement à la troisième place du K4 500 de la Coupe du Monde de Poznan en Pologne. Il n’y a pas d’âge pour le très haut niveau parce que la réussite est un parcours !

« Après les Jeux de Tokyo, j’ai un peu réfléchi à la suite à donner à ma carrière. Très vite, je me suis rendu compte que j’avais encore beaucoup de plaisir à être sur l’eau et à naviguer. Je suis toujours aussi bien dans mon kayak. Je n’étais pas prêt à arrêter. J’ai donc décidé de continuer jusqu’aux Jeux de Paris qui se dérouleront à la maison ! Je me sens également toujours compétitif malgré mon âge. Le K1 200 n’existera plus pour Paris 2024. Je me suis donc lancé un nouveau challenge en K4 500 avec des copains – collègues depuis des années et l’arrivée de Quilian, un jeune de 23 ans à qui je vais pouvoir transmettre ma passion. Au niveau national, j’ai remporté la sélection en mono et en biplace et je suis très satisfait de mes performances, ce week-end, à Vichy notamment sur la nouvelle distance « reine » de 500 mètres. Malgré la chaleur, du vent et des vagues sur le plan d’eau de Vichy, je me suis senti en grande forme. Guillaume Burger termine à la deuxième place, Guillaume Le Floch à la quatrième et Quilian gagne dans la catégorie des moins de 23 ans. C’est une nouvelle olympiade qui débute bien !  Au niveau international, nous avons fait une belle performance en Pologne. Nous ne nous mettons pas la pression cette année. L’objectif, c’est Paris. Nous avons, tout de même, dans le collimateur le Championnat du Monde à Halifax au Canada début août et le championnat d’Europe la troisième semaine d’Août à Munich où de nombreuses disciplines sportives seront présentes. »

Découvrez Maxime

Erika Sauzeau en forme Olympique

Médaillé de bronze aux Jeux Paralympiques de Tokyo en quatre barré mixte, la rameuse d’aviron, originaire de la somme, Erika Sauzeau, a enchaîné les bons résultats ces derniers mois. Elle a notamment battu le record du Monde d’aviron Indoor des 10 000 mètres dernièrement en 43 minutes et 17 secondes et dans une ambiance exceptionnelle à la maison des sports d’Amiens. La championne ne compte pas s’arrêter là cette année en participant à de nombreuses épreuves nationales et internationales.

« Avec Laurent Cadot, Rémy Taranto, Margot Boulet et Emilie Aquistapace, un équipage recomposé, nous venons de remporter une médaille d’Or lors de la régate internationale de Vaires-sur-Marne qui se tenait du 1 au 3 juillet sur le futur site Olympique de Paris 2024. C’est une belle satisfaction pour une première avec cette équipe. Le 14 juillet, je vais défiler avec l’armée des champions sur les Champs-Elysées. Cela sera un grand moment. Le 20 juillet, je serai au Sénat pour une cérémonie de mise à l’honneur des médaillés de Pékin et Tokyo. C’est un honneur. Les choses très sérieuses vont commencer du 8 au 14 août avec la tenue du Championnat d’Europe à Munich. Puis, on participera au Championnat du Monde, du 14 au 25 septembre, à Racice en République Tchèque. Nous fondons beaucoup d’espoir sur ces deux épreuves ».   

Découvrez Erika

Anaïs Mai Desjardins s’entraîne intensément

Anaïs Mai Desjardins travaille jour après jour les différentes techniques du kite à foil, nouvelle discipline qui sera présentée aux Jeux de Paris. La jeune femme, originaire de Dunkerque, deuxième du Championnat de France 2021, enchaîne les compétitions à grande vitesse et les études. Elle vient de valider la partie théorique de sa quatrième année de médecine et vit à 100 à l’heure son double cursus bien aidée par la Banque Populaire du Nord et l’université de Médecine de Lille. La France regorge de talents dans cette discipline et l’unique place pour les Jeux qui se dérouleront, pour les engins à voile, à Marseille en 2024, sera difficile à décrocher mais Anaïs a une grande volonté et ne lâchera rien pour atteindre son but, une qualification.

« Depuis la fin de mes examens fin mai, j’enchaîne les entraînements et les compétitions de travail. Je suis actuellement au lac de Garde en Italie dans ce cadre. L’objectif de la saison est de préparer au mieux les championnats d’Europe qui auront lieu fin septembre en Grèce et les championnats du Monde qui auront lieu dans la foulée début octobre en Sardaigne. L’idée est de titiller mes concurrentes françaises qui sont parmi les meilleures au Monde. »

Découvrez Anaïs

La Banque Populaire du Nord poursuit ses engagements sportifs

juillet, 8BP Nord...

Avec les performances de son équipe de sportifs de haut niveau, la Banque Populaire du Nord a vécu une belle année 2021 et un début de saison 2022 convaincant, sur les plans d’eau, au fil des résultats de la kitesurfeuse dunkerquoise Anaïs Mai Desjardins, de la rameuse amiénoise Erika Sauzeau et du kayakiste boulonnais Maxime Beaumont.

Dans la continuité de l’engagement du groupe BPCE en tant que partenaire premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, la Banque Populaire du Nord continuera de soutenir ces athlètes jusqu’à cette échéance et au-delà.

Elle a également décidé de poursuivre l’accompagnement du club ASL Canoë – Kayak Grand Arras tant la structure génère les mêmes valeurs que la Banque Populaire du Nord comme l’inclusion ou le soutien de jeunes sportifs à potentiel.

Hélène Madar, directrice générale de la Banque Populaire du Nord : « L’accompagnement de sportifs nordistes de haut niveau est un succès pour la Banque Populaire du Nord tant en interne auprès de nos collaborateurs qu’en externe auprès de nos clients, des sociétaires et du grand public. Nous sommes très fiers de suivre Anaïs, Erika et Maxime au fil de leurs parcours, de leurs réussites ou de leurs doutes. La Banque Populaire du Nord, en prolongement de son partenariat historique avec la voile et de sa marque Crédit Maritime, est particulièrement attachée aux valeurs des sports d’eau. De 2022 à 2024, dans la continuité de l’engagement du groupe BPCE en tant que partenaire “premium” des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, nous comptons renforcer notre soutien du sport dans les Hauts-de-France. Notre équipe va certainement s’agrandir d’ici peu et notre engagement auprès du club ASL sera l’occasion d’aider de jeunes talents dans leur quête. Il est important pour une banque régionale comme la nôtre de jouer un rôle dans son environnement local. »
A propos de la Banque Populaire du Nord

Dans la continuité de l’engagement premium du groupe BPCE avec les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, la Banque Populaire du Nord s’associe à ce grand défi et a initié un programme de soutien de sportifs dès 2020.Également partenaire historique du monde de la voile, la Banque Populaire du Nord et sa marque Crédit maritime ont donc constitué une équipe de trois sportifs réunis autour de deux points communs : la pratique d’un sport nautique et la préparation des Jeux Olympiques de Paris 2024.

La Banque Populaire du Nord accompagne ainsi Anaïs-Mai Desjardins en kitefoil, Erika Sauzeau en aviron et Maxime Beaumont en kayak.

Elle soutient également le club ASL canöé-kayak Grand Arras, une structure qui favorise la pratique inclusive du sport, promeut les valeurs positives du sport et regorge ainsi de jeunes talents.

Anaïs Mai Desjardins en quelques lignes : 21 ans, dunkerquoise, Vice-championne de France 2021 en kitefoil catégorie senior, Championne de France Espoirs kitefoil 2019, championne d’Europe Junior Kitefoil 2018, championne du Monde de Kitesurf 2017 – « tour mondial Kitefoil Goldcup », Championne d’Europe U19 en Kitefoil, étudiante en 4ème année de Médecine à Lille.

Erika Sauzeau en quelques lignes : 39 ans, mère de jumeaux, membre de l’armée des champions, originaire de Beauval dans la Somme, picarde affirmée, Erika a terminé troisième des Jeux Paralympiques de Tokyo fin août 2021 en aviron, dans la catégorie PR3 qui concerne les athlètes ayant des problèmes aux membres inférieures.

Maxime Beaumont en quelques lignes : 40 ans, boulonnais, kayakiste, 3 participations olympiques, Vice-champion olympique 2016, 4 médailles mondiales, 6 médailles européennes dont un titre en 2019, 18 médailles en coupe du monde dont le bronze en 2022, 17 titres de champion de France, 9ème en K1 200m des Jeux de Tokyo.

Le club ASL Canoë Kayak Grand Arras est l’un des grands clubs français de canoë et de kayak. Il a été fondé en 1966. En 2020, il a remporté son 30e titre de Champion de France des clubs et est le club le plus titré en nombre de médailles individuelles avec 20 médailles d’or, 15 en argent et 19 en bronze. Il compte 340 adhérents et 1700 licenciés parmi lesquels 19 sportifs faisant partie de la liste ministérielle des athlètes de haut niveau.

La Fondation pour le Pacte de Performance

Anaïs, Erika et Maxime sont soutenus par l’intermédiaire de la Fondation pour le Pacte de Performance qui a pour mission principale de promouvoir le sport comme vecteur de lien social, à travers des actions innovantes et reproductibles visant à soutenir, développer et faciliter l’insertion sociale et professionnelle dans et par le sport, la prévention de la santé ou encore la promotion du sport pour les personnes en situation d’handicap. La Fondation du Sport Français, Fondation Henri Sérandour est reconnue d’utilité publique.

L’ambition de la Banque Populaire du Nord à travers ces partenariats : 

L’ambition de la Banque Populaire du Nord est d’aider à la réussite des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 dans toutes ses composantes :
•    la réussite sportive,
•    la dimension éducative et solidaire,
•    la réussite économique.
Pour la Banque Populaire du Nord cette ambition se traduit par :
•    l’accompagnement de sportifs préparant les Jeux de Paris 2024 ;
•    l’accompagnement de structures favorisant la pratique inclusive du sport et le développement de ses valeurs positives ;
•    l’accompagnement des acteurs économiques régionaux privés et publics, afin qu’ils puissent bénéficier des opportunités économiques apportées par l’organisation des jeux ;
•    la mise en place d’une politique interne de développement de la pratique.

Le Groupe Banque Populaire du Nord en quelques lignes : 

Depuis 100 ans, la Banque Populaire du Nord accompagne ses clients particuliers, artisans, commerçants, agriculteurs, professions libérales et entreprises en mettant à leur service son expertise dans les domaines de la banque et de l’assurance.

Banque régionale coopérative dont le capital est détenu par ses 122 000 sociétaires, elle fait partie du 2e groupe bancaire en France : BPCE.

Forte de ses 1 155 collaborateurs, elle accompagne aujourd’hui 329 500 clients sur le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, l’Aisne et les Ardennes. Elle maille son territoire avec 130 agences de proximité, 3 agences patrimoniales, 6 centres d’affaires d’entreprises. L’offre de service et d’expertise de la Banque Populaire du Nord est distribuée au travers de marques et d’entités historiques qui composent le Groupe Banque Populaire du Nord : Banque Populaire du Nord, JPM Banque d’Affaires, JPM Banque Privée et Crédit Maritime.

Active dans les domaines de la création et de la transmission d’entreprise, elle dispose de tous les services spécialisés et des offres les plus élaborées pour offrir un service associant expertise et proximité.

La Banque Populaire du Nord est capable d’innover pour accompagner ses clients vers leurs ambitions les plus audacieuses sans perdre ce qui fait l’essentiel : la qualité de la relation entre un porteur de projet et son conseiller.

Un été inédit pour le Belem !

juillet, 5Belem...
photo de Aymeric Gibet Commandant du Belem

Le Belem, après une escale fécampoise festive, s’apprête à vivre de grands moments cet été avec des navigations inédites à la conquête des fjords norvégiens, les îles Shetlands et Féroé, Hébrides écossaises et côtes celtiques en mer d’Irlande. Cap sur les archipels du Nord et deux questions à Aymeric Gibet sur ce début de saison …

  1. En termes de navigation, comment s’est déroulé le début de saison le long du littoral français ?

Tout s’est déroulé de manière optimale. C’est vrai que le Belem avait peu navigué ces deux dernières années. Nous avons été contents de son comportement nautique dès son départ. Le temps nous a permis de rapidement sortir l’ensemble du jeu de voiles et nous avons principalement navigué à la voile. Entre Bordeaux et Fécamp, en convoyage, nous avons été propulsés par les voiles pendant 16 heures.  L’équipage est également au point. Notre noyau dur est en place et les nouveaux sont compétents. L’ambiance est beau fixe.

  1. Vous vous dirigez actuellement vers Scheveningen aux Pays-Bas puis cap sur la Norvège. Pouvez-vous nous parler des navigations estivales inédites ?

Cela sera ma première fois en Norvège. Il y a de l’excitation et un peu d’appréhension. Nous allons sortir de notre zone de confort, ce qui est génial. Je me renseigne depuis un moment sur les possibles escales à faire dans les fjords. J’étudie les cartes électroniques. Nous partons à la découverte. C’est une dynamique très positive. Nous nous apprêtons, en quelque sorte, à vivre une expédition avec des stagiaires très motivés : ils attendent ce départ depuis décembre, date de leur réservation au Nautic de Paris. Mathieu Combot, le second capitaine, sera à la manœuvre lors de la navigation aux îles Féroé. Jamais le Belem n’a été à cet endroit et aussi Nord.

Mise à l’eau de V and B – Monbana – Mayenne : le saviez-vous ?

juin, 27Sailing Together...

Le navigateur Maxime Sorel et son équipe ont mis à l’eau leur nouveau monocoque de 60 pieds, l’IMOCA V and B – Monbana – Mayenne aujourd’hui à Concarneau. Le fameux Dragon des Océans est de retour pour vaincre la mucoviscidose et braver les éléments à commencer par la Route du Rhum – Destination Guadeloupe dont le départ sera donné le 6 novembre prochain à Saint-Malo. 14 choses à savoir :

  1. Maxime est ingénieur de formation, il a exercé le métier d’ingénieur en génie civil avant de devenir skipper professionnel.

    2. Il a terminé à la 10ème place du dernier Vendée Globe sur un bateau d’ancienne génération !

    3. L’objectif numéro 1 de Maxime Sorel sur la prochaine Route du Rhum sera la qualification pour le Vendée Globe 2024 – 2025.

    4. Maxime Sorel est originaire de Cancale, la Route du Rhum est la course qui a bercé son enfance et lui a donné envie de se lancer en course au large !

    5. V and B – Monbana – Mayenne est le premier foiler de Maxime. Avec l’aide de deux grandes ailes appelées foils, le voilier va voler régulièrement et atteindra de sacrées vitesses moyennes et de pointe !

    6. La construction de V and B – Monbana – Mayenne a demandé plus d’un an de travaux chez Multiplast à Vannes et chez MerConcept, la société de François Gabart, à Concarneau, et une équipe de 120 personnes s’est relayée autour de la conception de ce bijou pendant 30 000 heures. V and B – Monbana – Mayenne est un voilier dessiné par Guillaume Verdier, architecte naval mondialement connu.

    7. Le nouveau Dragon des Océans est une émanation du voilier, deuxième du Vendée Globe 2020 – 2021. Il dispose de la même carène, mais d’une étrave modifiée pour mieux passer la mer notamment dans le grand sud et également de nombreuses astuces techniques qui font sa particularité. Maxime a d’ailleurs souhaité innover sur certaines pièces du bateau, conçues en lin.

    8. Philippe Laot, technicien chevronné, est le directeur technique du team. Il a suivi l’ensemble de la construction du voilier et aura à charge la gestion technique du bateau dans les années qui viennent…

    9. Maxime Sorel est le parrain national de Vaincre la Mucoviscidose, une association qu’il soutient depuis toujours et qui lui tient fortement à cœur. Le dragon est d’ailleurs le symbole du souffle qui manque aux patients…

    10. La décoration de V and B – Monbana – Mayenne a été imaginée par Julian et Yann Legendre et Jean-Baptiste Epron. Yann Legendre qui a dessiné le dragon, est un célèbre graphiste mondialement reconnu. Cette décoration a demandé un travail d’orfèvre afin d’être positionnée sur la coque du bateau et les voiles…Les prestataires “Ecritures” et Les Ateliers d’Olivier” ont appliqué des pochoirs et la peinture. Une œuvre d’art ? Banksy sort de ce corps !!

    11. Près de 1200 personnes étaient présentes autour de la Team Maxime Sorel pour la mise à l’eau. V and B et Monbana ont convié leurs salariés et franchisés pour l’événement. La Mayenne, de son côté, a invité des écoliers, des enfants de l’aide sociale à l’enfance, des habitants du département et des élus afin de partager avec le plus grand nombre, cette mise à l’eau. Un collectif de partenaires officiels et techniques a également pris part à cette journée. De nombreuses animations ont également attiré le grand public !

    12. En sus de sa vie de marin, le skipper se passionne pour le surf mais aussi l’alpinisme. Après avoir gravi le Kilimandjaro en 2021, il gravira l’Everest au printemps 2023

    13. Maxime Sorel travaille en famille ! Son frère Jérémy est le Team Manager et son beau-frère Sylvain, responsable communication du projet.

    14. Dans quelques jours, après quelques derniers préparatifs, V and B – Monbana – Mayenne prendra la mer pour une première navigation. Par la suite et tout l’été, Maxime et son équipe vont enchaîner les sorties en mer afin d’apprivoiser la bête. La première compétition du monocoque aura lieu, mi-septembre, à Lorient lors du Défi Azimut.

« Nos Épaules et Vos Ailes » se mobilise pour soutenir les élèves fragilisés par les crises

juin, 23Atout Soleil...

Pour la 15ème édition de son opération de mécénat Atout Soleil, le fonds de dotation « Nos Épaules et Vos Ailes » a choisi de lancer un appel à projets sur le thème du « (Re)Vivre ensemble » afin d’apporter un soutien aux associations qui luttent contre les effets durables des crises sur les enfants et les adolescents.

Soutenir les apprentissages et les acquis scolaires des plus vulnérables constitue plus que jamais une des priorités de notre société.. En effet, si le retour progressif à la normale dans les écoles a permis à la plupart des élèves de rattraper les retards d’apprentissage accumulés durant la crise sanitaire, l’écart s’est accentué avec les enfants qui présentaient déjà des fragilités sociales et/ou psychologiques.

L’expérience traumatisante du confinement a de surcroît aggravé les phénomènes de phobie scolaire et de cyberdépendance, avec un impact notable sur leur développement et leur réussite à l’école. Si elles ne sont pas traitées suffisamment tôt, ces difficultés pourraient s’accentuer et mettre à mal l’égalité des chances et la cohésion sociale.

Les retards d’apprentissage accumulés durant la crise sanitaire ont pu être rattrapés, mais les écarts de performances entre élèves se sont accrus

Alors que la fin de l’année scolaire se profile, le retour à la normale semble enfin s’installer dans les écoles : depuis déjà plusieurs mois, les élèves ont fait tomber le masque en classe, l’enseignement à distance n’est plus qu’un lointain souvenir, et après deux années d’épreuves contrariées par les mesures sanitaires, les lycéens peuvent enfin se concentrer pleinement sur leurs révisions du baccalauréat. Les retards d’apprentissage observés durant la crise sanitaire ont semble-t-il aussi été en grande partie effacés. Dans une note publiée au début de l’année, le ministère de l’Éducation nationale indiquait que les évaluations menées en septembre 2021 auprès des élèves de CP et de CE1 montraient qu’ils avaient retrouvé un niveau similaire à l’avant-crise dans quasiment toutes les compétences testées en français et en mathématiques.

Seule ombre au tableau, ces chiffres masquent une forte disparité entre les élèves les plus favorisés et les plus vulnérables. L’écart de performance scolaire calculé entre les élèves scolarisés dans les établissements de l’éducation prioritaire et hors éducation prioritaire s’établit à un niveau nettement supérieur à ceux enregistrés avant la crise. L’augmentation est généralisée et touche presque toutes les compétences testées.

Le constat est connu : la crise sanitaire et l’enseignement à distance ont agi comme un miroir grossissant des inégalités sociales. En effet, selon une autre enquête menée par le ministère de l’Éducation nationale, l’investissement des parents d’élèves de CP et de CE1 semble avoir été le même quel que soit le milieu social des élèves, mais entre la fracture numérique, les différences de conditions matérielles pour bien organiser le travail à la maison et le différentiel de « capital social », la scolarité a été beaucoup plus difficile à suivre pour les élèves vulnérables. Interrogés sur la qualité du suivi de leurs élèves durant la crise, les enseignants exerçant dans des établissements de l’éducation prioritaire confirment que le suivi a été beaucoup plus problématique chez les élèves qui présentaient déjà des difficultés scolaires avant la crise ou dont la situation sociale était dégradée. En parallèle, les familles les plus favorisées ont su rapidement mettre en place des stratégies pour rattraper les retards d’apprentissage. Elles sont notamment nombreuses à avoir fait appel à des structures privées de soutien scolaire, ce que n’ont pas pu faire les familles aux revenus plus modestes.

« Cette inquiétude de voir les inégalités scolaires se creuser dans le contexte de crises que nous traversons nous a été signalée par de nombreuses associations que nous accompagnons depuis plusieurs années. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi d’en faire un axe majeur de l’appel à projets que nous lançons sur le thème du (Re)Vivre ensemble » explique Thierry Gaudeaux, Président du fonds de dotation Nos Épaules et Vos Ailes.

Les difficultés scolaires ont été aggravées par l’augmentation des troubles psychologiques liés aux crises

Les longs mois de confinement ont également eu des répercussions importantes sur la santé mentale des enfants et des adolescents, comme l’a souligné Santé publique France dans plusieurs de ses études. Dès les premiers mois de la crise sanitaire, les experts et les professionnels de santé avaient alerté sur l’augmentation des troubles psychologiques chez les plus jeunes. Malgré le reflux de l’épidémie, ils restent aujourd’hui nombreux à s’inquiéter de la persistance des phénomènes de cyberdépendance ou de phobie scolaire, dont les conséquences sur la scolarité pourraient être importantes à long terme.

Entre l’isolement social imposé par les confinements ou encore la nécessité de s’adapter continuellement à un rythme scolaire différent, les cas de « refus scolaire anxieux » se sont en effet multipliés. Selon les estimations les plus alarmistes, le phénomène concernerait jusqu’à 8% des élèves. Ici aussi les différences sont fortes selon les milieux sociaux : on estime que les enfants et les adolescents privés d’activités extrascolaires, souvent issus de milieux défavorisés, ont quatre fois plus de risques d’être angoissés et de ne pas réussir à l’école, entrainant des phénomènes de glissement psychologique et physique qui augmentent le risque d’isolement social. La crise sanitaire a également contribué à installer de mauvaises habitudes prises durant le confinement, et notamment une surexposition aux écrans qui a accentué le repli sur soi de nombreux enfants. Cet usage excessif des écrans s’est traduit par une augmentation des cas signalés de cyberharcèlement, qui a lui aussi participé à alimenter le phénomène de phobie scolaire.

Si la pandémie n’est aujourd’hui plus le principal sujet d’inquiétude, le contexte actuel n’offre que peu de répit aux enfants les plus anxieux. Aujourd’hui c’est le conflit en Ukraine qui s’est imposé dans la vie de nombreux enfants et les plus fragiles d’entre eux ont l’impression de ne pas voir la fin de cette période de crise.

Apporter un appui à ces enfants marqués par la multiplication des crises, et agir pour qu’ils puissent retrouver une vie et une scolarité normale, constitue plus que jamais un impératif pour éviter que les inégalités ne se creusent chez les enfants les plus vulnérables. A travers son appel à projets, le fonds de dotation « Nos épaules et Vos ailes » souhaite accompagner les associations françaises qui portent des projets visant à panser les plaies psychologiques liées aux crises, à soutenir les apprentissages et les acquis scolaires des plus vulnérables et à recréer du lien à travers l’entraide et la transmission des savoirs entre générations.

Grande démission : le phénomène gagne la France… et frappe tous les secteurs !

juin, 16BLOG...

Selon les chiffres de la Dares, le service statistique du ministère du Travail, les démissions de salariés en CDI ont atteint un niveau sans précédent en 2021, en progressant de près de 20% par rapport à 2019. Les ruptures anticipées de CDD ont elles bondi de 25,8% en deux ans.

Tous les secteurs sont touchés ! Même le secteur de l’économie sociale et solidaire, qui a longtemps bénéficié d’une bonne image auprès des jeunes, n’est pas épargné. « La baisse des candidatures peut y atteindre 60% pour certains postes », constate Orientation Durable, le cabinet de recrutement spécialisé dans l’ESS et l’intérêt général.

Le phénomène est particulièrement préoccupant lorsqu’il contribue à aggraver des difficultés de recrutement préexistantes. Pour les acteurs de l’ESS, l’enjeu est de taille car près d’un salarié du secteur sur cinq partira à la retraite d’ici 2026. Comprendre les attentes de la « génération millennial » pour mieux s’y adapter est donc primordial.

Au-delà de la quête de sens, cette tendance révèle un profond bouleversement du rapport des jeunes au travail. Selon Orientation durable, « travailler dans l’intérêt général ne fait pas le bonheur, ou plus précisément… cela ne suffit pas ». Pour ces jeunes, la recherche de l’utilité sociale associée au poste est importante mais leurs attentes sont également fortes en termes d’organisation du travail et de respect de l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Les jeunes restent prêts à accepter un niveau de rémunération plus faible comparé aux autres secteurs, mais le moindre écart entre les engagements affichés par leurs employeurs et la réalité peut avoir des impacts désastreux.

Face à ce nouveau défi, les organisations doivent être accompagnées pour mener une véritable réflexion de fond sur leur rôle social et donc sur l’alignement de leurs engagements avec leur activité. L’innovation sociale repose sur la participation et la coopération de toutes les parties prenantes, des utilisateurs et usagers, mais aussi des collaborateurs autour d’un enjeu. Il est donc essentiel de pouvoir apporter des outils et des méthodes pour faciliter l’engagement de tous à chaque étape de la réflexion et de la mise en œuvre des projets.

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